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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
Milo Manara |
Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Vainement, je tends mes bras vers elle, le matin, lorsque mal réveillé encore, je sors d'un pénible rêve ; en vain la nuit, je la cherche à mes côtés, lorqu'un songe heureux et pur m'a trompé, que j'ai cru que j'étais auprès d'elle sur la prairie, et que je tenais sa main et la couvrais de mille baisers. Ah ! lorsque, encore à demi dans l'ivresse du sommeil, je la cherche, et là-dessus me réveille, un torrent de larmes s'échappe de mon coeur oppréssé, et je pleure inconsolable devant le sombre avenir qui m'attend. |
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Goethe, Les souffrances du jeune Werther |