La femme est une rose au pétale fragile, Qui s'émeut lentement au souffle d'un baiser... Par ta bouche aspirée, Donne-moi des baisers Pour apaiser l'ardeur Qui martèle mon sang.. Lui, par qui j'ai connu les feuilles et les branches, Le rythme des saisons de la racine au fruit, Quand le sexe gonflé le lourd épi se penche, L'accord multiplié de la margelle au puits. Qu'en moi brûle la flamme ardente des amours; Tu le devineras dans l'orgasme suprême. Josette Frigiotti, |