Il est insupportable de se sentir part solidaire et impuissante d'une beauté en train de mourir par la faute d'autrui. Solidaire dans sa poitrine et impuissant dans le mouvement de son esprit. Si ce que je te montre et ce que je te donne te semblent moindres que ce que je te cache, ma balance est pauvre, ma glane est sans vertu. Tu es reposoir d'obscurité sur ma face trop offerte, poème. Ma splendeur et ma souffrance se sont glissées entre les deux. Jeter bas l'existence laidement accumulée et retrouver le regard qui l'aima assez à son début pour en étaler le fondement. Ce qui me reste à vivre est dans cet assaut, René Char
dans ce frisson.
ECHANGEONS NOS BAISERS ! VOUS RECEVEZ LES MIENS, J'ATTENDS LES VôTRES !adresse : amourdubaiser@ifrance.com